Le vendredi 24 octobre, lors de la rencontre au cours de la 33eme session de l’Assemblée balte,  Mme Solvita Āboltiņa, Présidente de la Saeima, a invité M. Eiki Nestor, Président du Parlement estonien et Mme Loreto Graužinienė, Présidente du Parlement lituanien, à la cérémonie d’inauguration de la Présidence de la Lettonie du Conseil de l’UE.

„La Turquie est l’un des États qui mettait inlassablement en œuvre la politique de non-reconnaissance de l’occupation de la Lettonie. Notre pays fait partie de l’Union européenne et de l’alliance de l’OTAN depuis déjà dix ans, et nous nous rendons très bien compte de l’importance du soutien des autres États. C’est pourquoi la Lettonie est favorable à un nouvel élargissement de l’Union européenne et elle soutient la candidature de la Turquie,” a déclaré Mme Solvit Āboltiņa, Présidente de la Saeima, lors de la rencontre avec M. Recep Tayyip Erdogan, Président de la République de Turquie, le jeudi 23 octobre. La Lettonie est le premier État membre l’UE où s’est rendu le Président nouvellement élu de la Turquie.

Le vendredi 17 octobre, la Commission des Affaires européennes a approuvé les thèmes qui seront abordés lors des réunions de la dimension parlementaires de la première présidence de la Lettonie du Conseil de l’Union européenne. Il est prévu d’organiser six réunions parlementaires au cours de la présidence.

Le jeudi 16 octobre, la Saeima a adopté des amendements au Règlement intérieur   ainsi modifiant la loi qui régit le travail du Parlement.

Le jeudi 16 octobre, lors de sa visite officielle en Moldavie, Mme Inese Lībiņa-Egnere, adjointe de la Présidente de la Saeima, s’est entretenue avec Mme Liliana Palihovici, vice-présidente du Parlement de la République de Moldavie. Elles ont déclaré que la Lettonie et la Moldavie remplissent toutes les conditions nécessaires pour renforcer la coopération interparlementaire: un dialogue politique de haut niveau, les groupes d’amitié interparlementaires et la volonté mutuelle de coopérer entre les Commissions nationales sectorielles.

Le jeudi 16 octobre, la Saeima en deuxième et dernière lecture a adopté des amendements urgents à la loi pénale et à la loi de procédure pénale prévoyant la surveillance électronique des personnes condamnées en tant qu’alternative à l’emprisonnement.Ces amendements modifient le système de la libération conditionnelle anticipée et permettent aux condamnés de bénéficier d’une alternative: placement sous surveillance électronique mobile. Cette alternative ne concerne que des condamnés à faible et moyenne dangerosité et qui ont atteint un niveau déterminé de resocialisation. Ainsi, dans certains cas, il sera possible de purger une partie de la peine en incarcération et l’autre en liberté conditionnelle.